Violation des droits humains en Ouganda et en Tanzanie en lien avec les investissements dans des projets fondés sur les énergies fossiles

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Total-Energie et autres investisseurs mènent 2 mégaprojets qui violent les droits humains de plus de 100.000 personnes en Afrique de l’est. Pour les populations ces gisements de pétrole sont plus une malédiction qu’une source de développement.

Cet oléoduc géant chauffé à 50 degrés traverse la Tanzanie et l’Ouganda, engendre des dégâts environnementaux dans la flore et la faune. L’oléoduc transporte le pétrole ce qui provoque des déplacements massifs de population qui sont privées de moyens de subsistance. Ceci va causer une famine grave dans cette région  et favoriser la déscolarisation des jeunes et spécialement celle des filles.

Obligé de céder leurs terres, les agriculteurs n’ont pas vu l’ombre de compensations financières. Les opposants aux projets pétroliers sont considérés comme des ennemis du gouvernement et victimes de menaces, d’arrestations et d’emprisonnement.

Le cri du cœur des activistes dont la fondatrice. Hilda Flavia Nakabuye de « Friday for future en Ouganda» nous interpelle. Elle voit l’avenir des jeunes de sa génération brisé au profit d’un capitalisme de mauvaise aloi.

Une fois de plus l’exploitation de l’énergie fossile n’engendre pas seulement une tragédie écologique mais aussi une tragédie humaine.

Il est fondamental que cette résolution soit votée pour que ceux qui luttent en Ouganda et en Tanzanie sachent que le Parlement Européen les soutient

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